Le Tremblay

 

 

 

 

HENRI IV, le Grand (1553-1589-1610)

   Aveu rendu le 27 octobre 1593, par dame Anne de la Ventrouze au Roy (comme Arrière-Fiefs).

 

   L’aveu, est l’acte par lequel un vassal avoue tenir de son Seigneur des fiefs, terres ou droits.

 

   En droit seigneurial, l’aveu est une déclaration écrite que doit fournir le vassal à son suzerain lorsqu’il entre en possession d’un fief (par achat ou héritage). L’aveu est accompagné d’un dénombrement ou minu décrivant en détail les biens composant le fief.

 

   Un arrière-fief était un fief qui ne relevait pas directement de la couronne. C’était un fief qui dépendait d’un autre fief.

 

   La Ventrouze était autrefois le siège d’une justice seigneuriale.

 

 

 

 

 

LOUIS XV, le Bien-Aimé (1710-1715-1774)

   Date 1703 sur une pierre.

 

   Le jour du Mardi Gras 1761 sous LOUIS XV est survenu un charivari :

   - La cause :

   - Un mariage entre René MARCILLY, journalier au hameau du Tremblay et Louise DESPRES veuve FAUCON (disproportion d’âge) qui n’avait pas le don de plaire au nommé Pierre NAY, non plus qu’aux FROMENTIN, les cousins de la mariée. Le motif ? On l’ignore.

 

   Le hameau du Tremblay comprenait en 1761 cinq ou six feux espacés en carré sur une superficie d’environ cent cinquante mètres. Maisons basses, maisons de culture pour la plupart, quelques-unes avec le rez-de-chaussée surélevé sur cave, anciennes demeures des tisserands. On y fabriquait la grosse toile, dite de Mortagne, dont la solidité fut si longtemps appréciée par les ménagères, voire par les maîtres de la peinture.

 

 

 

 

LOUIS XVI (1754-1774-1792)

   Appartenant à la Chapelle Sainte-Anne de Courgeon.

 

   Vendu comme bien national le 20 janvier 1791 pour 12.000 livres